Blade's Return
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Lulu ▬ Rien à voir avec des castagnettes :V

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Lulu ▬ Rien à voir avec des castagnettes :V Empty
MessageSujet: Lulu ▬ Rien à voir avec des castagnettes :V Lulu ▬ Rien à voir avec des castagnettes :V EmptyJeu 7 Aoû - 15:32


Prénom Prénom²
Nom


Célébrité


Nom : Dradique
Prénom(s) : Lucien
Surnom : Lulu
Date de naissance : 14 juillet
Lieu de naissance : Strasbourg
Âge : 27 ans
Métier : Animateur Radio
Situation familiale : il lui reste ses parents.
Groupe : Dragons.

Caractère :Généralement, le dernier de la classe est un petit garçon turbulent, qui ne pense qu'à faire le pitre, ou bien un gosse qui ne fait que dormir, dormir et dormir encore. Mais dans certains cas, c'est un élève qui ne comprend pas la réalité, qui reste enfermé dans son monde plein de Cybermens, de fée et de Dragons. Bien que les deux premiers n'existent pas, les troisièmes sont bien réels. Et comme ce dernier de la classe en est un, il sera difficile de l'en sortir. Surtout lorsqu'il s'en-tête a raconter ses histoires à tous ses petits et crédules camarades, qui diffusent la nouvelles : LES DRAGONS EXISTENT ! LES DRAGONS EXISTENT ! Et le dernier de la classe peut être content. Mais ce mauvais élève se veut également un garçon agréable, sympathique et intelligent. Car si ses résultats scolaires ne sont pas au beau fixe, il reste intelligent, comme la plupart des enfants de son âge. Mais le dernier de la classe à bien grandi. Franc, amical, Lucien devint un homme ambitieux, mais néanmoins assez fainéant. Il eu néanmoins son bac et brevet avec mention et n'oublia pas de raconter ses histoires de Dragons aux enfants de Paris. Il était un homme passionné par son travail, moderne, et qui se foutait de toutes les religions, qu'elles soient officielles ou non.


Histoire


« Les longs violons de l'Automne, je répète, les longs violons de l'automne. »


Les premiers rayons du soleil filtraient à travers les volets de la chambre lorsque Lucien, vêtue d'un peignoir, de pantoufles en poil de quelconque animal qui aurait donné sa vie en abattoir et que Green Peace aurait élevé au rang de saint martyre qu'un Lucien grommelant des insultes en un dialecte complexe qu'est l'alsacien s'avançait vers sa cuisine afin de se préparer un café bien, bien, bien serré pour bien débuter la journée qui s'annonçait morose, comme tous les jours de la semaine, du mois et de l'année, à quelques exceptions près comme Noël ou Halloween. Quoique Halloween faisait plus chier Lucien qu'autre chose. Mais passons.

Après avoir installé la capsule rouge dans la machine à café, il entreprit de se faire des crêpes. Une épreuve tout droit sortit de l'Odyssée et de l'Iliade pour Lucien, qui n'était pas cuisinier pour un sou. Mais alors qu'il sortit sa poêle pour faire ses crêpes, vous savez la plus petite, avec les bords de 13 centimètres, en fonte que lui avait légué sa grand-mère en précisant bien qu'elle était faite pour les SOUPE et les POTAGES, Lucien vit un Beakoaffa que lui avait envoyé sa tante d'Alsace. Alsace qu'il avait quittée lorsqu'il avait 5 an avec son père, à la mort de sa mère. Il s'en souvenait encore comme si c'était hier.

[i] Dans le lit de la chambre aux murs bleus, un petit garçon dormait. Il faisait des rêves, de beaux rêves psychédéliques où il était le neuvième docteur essayant de sauver une princesse Sherlock des mains d'un grand leprechaun  fish & chips. Ce rêve était sûrement motivé par son voyage à Londres qu'il avait fait il y avait quelques jours de cela. Bien décidé à tuer le grand leprechaun, Lucien nineth dégaina son tournevis sonique et le pointa sur la créature démesurée. Créature qui cria d'une voix criarde : "AAAAAH NOONN JE SUIS DÉFAIT !" Et tout se finit bien lorsque la princesse Sherlock et le grand docteur Lucien nineth entamèrent le repas de fish & chips. Miam. Et d'un coup, sans prévenir, Princesse Sherlock secoua Lucien en lui criant dessus : "RÉVEIL TOI BON SANG !"

Et à contrecœur, le garçon ouvrit les yeux pour voir les yeux rouges et exorbités de son père, qui paraissait... Inquiet ? Stressé ? Pressé ? Peut-être tout cela à la  fois. Mais le fait était que le père du garçon le réveillait en sursaut, alors que celui-ci faisait un rêve sublime et doux dont personne n'aurait voulu être tiré. Le garçon s'habilla en hâte, et pris ses affaires. Quand son père lui tira la main, le garçon regarda dans le berceau près de l'entrée, mais son père fit non de la tête. Dubitatif, le gamin demanda :

- On n'emmène pas Liberty ?

Le père eu alors une expression de profond regret et regarda le jeune garçon :

- Ne t'inquiètes pas pour elle. Liberty ne veut pas venir là où nous allons...

Puis il tira la main de l'enfant qui ne posa pas de questions en bon garçon qu'il était.  Ils sortirent de la maison, et n'y revinrent jamais.

L'enfant grandi, devint un garçon turbulent mais intelligent. Néanmoins il restait constamment un dernier de la classe. Lors des conseils de classe, les professeurs lui disait de plus travailler, que si il ne s'apprêtait pas à étudier il allait louper son brevet -qu'il eu avec une mention assez bien- et son bac -qu'il eu aussi avec une mention bien- néanmoins et mystérieusement tout lui souriait. Mais une chose le froissait. C'était le fait qu'il ne devait jamais être en présence d'autres personne de sa famille lorsqu'il y avait des miroirs ou toute autre choses qui pouvait refléter son image de dragon au écailles pourpre et au visage doré. Donc pas de sorties sous la pluie. Pas de sorties dans les palais des glaces. Les moindres fais et gestes de l'enfant était surveillés par son père. Un père se sentant seul. Un père plongeant dans l'alcool et qui, quand on abordait la question de la mère de son fils mettait fin à la discussion. Un père mal dans sa peau, d'aucune aide durant l'adolescence du garçon. C'est durant cette adolescence que le jeune homme rencontra Sicilia. Sicilia, c'était sa professeur de Français du lycée. Entre les plans culs, les amours et les petits amis du'un soir, il y avait Sicilia.

Sicilia, c'était la magnificence incarnée. Non pas qu'elle fut belle, on peut même dire que la nature ne lui ai pas fait de cadeaux, mais sa présence suffisait à remplir une salle vide. Quand elle parlait, on se la fermait. Quand elle marchait, on la regardait. Quand elle récitait, on écoutait les flots de paroles de sa voix douce entrer dans nos oreilles. Cette femme fut tout pour le garçon durant un moment. Ses notes devinrent bonnes et son moral vint au beau fixe. Mais ce ne du pas tout. Loin de vouloir quitter son professeur, il la présenta à son père. Et la simple présence de cette femme irradiant de bonheur suffit à transformer, en quelques temps, le père dépressif en un homme nouveau. Homme nouveau qui s'empressa de demander la main de cette professeure, non contente d'avoir en sa possession un manoir énorme en plein Paris, qu'elle avait hérité de ses parents, morts quelques temps avant qu'elle ne devienne professeure de Français dans  le lycée du jeune homme.

Jeune homme qui grandit, grandit, et qui, grâce à Sicilia, eu la motivation de gravir les échelons jusqu'au rang d'animateur radio, un métier que l'enfant avait toujours voulu faire. Mais il grandit encore, et un matin se retrouva devant ce Beakoaffa, à repenser au passé.
Après avoir installé la capsule dans la machine



Derrière l'écran


Derrière le visage de ce personnage passionnant se cache Léo, mais le plus souvent, on la connais sous le nom de Marabout, c'est comme un nom de code, vous comprenez sans doute. Cette charmante personne a 14 ans. Elle a lu le règlement, la preuve en et qu'elle en connait le code qui est validé par Lulu. Enfin, elle a tenu à ce que nous vous délivrions ce message : je suis un lama, avec des pouvoirs magiques, mon style est épileptique .-. La détresse humaine, mesdames et messieurs..

code by Coatlicue.
avatar by Swan.
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Lulu ▬ Rien à voir avec des castagnettes :V

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