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Anaëlle Jolly | Un jour la paix sera...

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MessageSujet: Anaëlle Jolly | Un jour la paix sera... Anaëlle Jolly | Un jour la paix sera... EmptyJeu 7 Aoû - 17:00


Anaëlle Olivia
Jolly


Rose Leslie


Nom : Jolly.
Prénoms : Anaëlle Olivia.
Surnom : Ana.
Date de naissance : 4 avril.
Lieu de naissance : Paris.
Âge : Vingt-quatre ans.
Métier : Infirmière.
Situation familiale : Célibataire.
Groupe : My troth : I'm a blade.

Caractère : Le caractère est une chose qui évolue au fil des années et des événements qui marquent une vie. Le nourrisson est égoïste par définition, ainsi que capricieux, il mange quand il a faim, dort quand il a sommeil et boit quand il a soif. Toutefois, il peut également être jovial et offrir de mélodieux rires qui font chaud au cœur de toutes les mères. Anaëlle n'était pas de ces bébé rieur, mais plutôt observateur et calme, qui ne rit pas mais ne pleur pas non plus. Étrange enfant direz vous et vous aurez raison de le dire mais c'était ainsi qu'était le deuxième enfant du couple Jolly.
Enfant mature et stricte, elle était connue pour son fort caractère et son goût de la justice. Mais aussi pour son esprit protecteur, notamment envers sa sœur cadette qui était pour elle une vraie merveille du monde. Sa naïveté était impressionnante et une véritable passion pour son frère aîné qui aimait lui jouer des tours et apprécié son entrain malgré les nombreuses disputes qui rythmaient leur quotidien qui jamais ne fut ennuyeux.
Toutefois, un jour qu'un dragon usa de sa naïveté pour entrer chez elle et tuer ses parents, celle-ci s'éteignit pour une méfiance qui ne se ferait que croissante au fur et à mesure des années ainsi que pour une haine pour les dragons qui ne ferait que se décupler le jour où son frère sera tué par l'un d'eux pour la protéger.
Aujourd'hui, elle est une lame connue pour son courage mais surtout pour les massacres qu'elle serait capable de commettre pour ses idéaux. Pour elle, la vraie mission des lames et de tuer les dragons afin de protéger la France mais aussi la Terre, et elle est pour cela à affronter Antoine Revel.


Histoire


Chapitre premier

Il y a des hivers parisiens qui semblent interminables. Et c'était un de ces hivers là, un de ces hivers glacials qui nous font oublier combien la chaleur du soleil d'été est insupportable. Le froid empli vos vêtements, s'engouffre entre les mailles des plus épaisses laines et vous tétanise alors même que vous ouvrez votre porte. Pourtant, il était hors de question que les enfants de la famille Jolly restent enfermés à l'intérieur. Ils sautaient en tout sens tandis que leur père tentait désespérément de les couvrir le plus chaudement possible. L'aîné était Gabriel, un jeune garçon plein d'énergie qui ne manquait jamais une occasion de se faire remarquer ou en d'autres termes, de faire des bêtises. Joueur et entêté, il aimait jouer des tours au gens, passionné par les tours de magie auxquels il s'entraînait assidûment, bien plus assidûment qu'il ne faisait ses devoirs. Et puis il fallait dire qu'il avait pour ses spectacles de magie, destinés alors à leurs parents, une équipe parfaite : deux petites sœurs qui pour lui étaient tant de dociles cobayes que de parfaites assistantes. La plus âgée des demoiselles, Anaëlle, avait de longs et fins cheveux roux qui tombaient raide sur ses maigres épaules. Des trois enfants, elle était sans doute la plus réaliste et la plus sérieuse. Respectueuse des règles, elle se faisait plus prudente que son audacieux grand frère et plus attentive que sa rêveuse petite sœur. Studieuse, elle avait toutefois pour défaut d'être naïve et trop théorique, du moins dans la vie quotidienne.La cadette de la fratrie, Raphaëlle, ressemblait énormément à sa sœur quoi que sa chevelure ne soit pas aussi flamboyant mais plus foncée. Elle était rêveuse, imaginait toujours des histoires et des trois enfants, elle était la plus discrète quoi que d'un caractère bien trempé Qu'elle devait sans doute à son statut de petite dernière. Coquette et pleine de fantaisie, on trouvait chez elle un côté artiste qui la rendait allergique à l'école.
Enfin habillés, les trois enfants, furent libérés dans le petit jardin qui se trouvait à l'arrière de la maison, les deux filles commencèrent par s'élancer lèvres la balançoire, leur aîné des devançant et piquant l'une des deux places, chose qui comme toujours aboutit à une dispute et Gabriel finit par pousser la plus jeune de ses sœurs qui se faisait trop insistante dans la neige. Entre les larmes de l'enfant s'éleva alors la voix sévère d'Anaëlle qui s'indigna du manque de diplomatie de son aîné qui décidément n'était qu'une boule de muscles sans sentiments. Les sanglots et les cris alarmèrent le père de famille qui les rejoignit en grande hâte, faisant cesser la dispute.
« Papa ! Il a poussé Raphaëlle dans la neige ! Elle a froid maintenant ! »
Sœur protectrice et attentionnée, elle avait forcément pris la défense de la victime dans cette affaires, mais Gaël Jolly du fait de son autorité paternelle eut plus de succès que sa fille. Gabriel, punit, du rentrer faire ses devoir et Raphaëlle, pour ne pas qu'elle attrape froid fut envoyée au bain. Anaëlle, resta seule dehors et donc se mît à faire un bonhomme de neige, un bonhomme de neige difforme auquel elle prêta son écharpe. Absorbée par sa construction, elle ne l'avait pas entendu arriver, ses pas étant plus difficilement audible dans la neige que sur les pavés parisiens. Quand il posa une main sur son épaule, elle sursauta légèrement, le regarda, le dévisagea même, se demandant ce qu'il faisait ici dans son jardin. Il était grand, musclé et en somme, imposant. Elle se prit d'abord à reculer avant qu'il ne la rassure et ne lui demande pourquoi elle semblait si effrayée. Et c'est avec l'innocence des enfants de son âge que l'enfant lui avait répondu :
« Papa et maman m'ont dit de ne pas faire confiance aux inconnus.
-Et ils ont eu bien raison de te le dire. Toutefois vois-tu, je ne suis pas un inconnu. Je suis une vieille connaissance de tes parents... Ce sont bien Eléonore et Gaël Jolly ? Non ?
»
La petite fille à cette double interrogation avait répondu d'un timide hochement de tête. Elle se dirigea vers la porte de la maison et le guida jusqu'à la cuisine où sa mère préparait le déjeuner, lorsque la femme se retourna en vit l'inconnu, elle avait écarquillé les yeux de frayeur, poussé un cri aiguë mais ne s'était pas laissée faire. Elle attrapa un couteau de cuisine et poignarda l'homme alors qu'il se jetait sur elle comme un chien fou. Aussitôt, une fois sur l'homme mort, elle se précipita vers sa fille, s'assura qu'elle n'ait rien. La prenant dans ses bras et la porta jusque dans la cave en l'assommant presque de questions comme "Il y en avait d'autres ?" "Pourquoi l'as-tu fais entré ?" et d'autres encore du même registre auxquelles Anaëlle répondit, sous le choc de ce qu'elle avait vu. La famille fut bientôt barricadée dans la cave sans qu'aucun des trois enfants ne comprenne ou du moins, ne soit censé comprendre. Mais la moyenne avait compris, cet homme, c'était un dragon.



Chapitre second

Le cycle des saisons est un cercle continuel bien étrange. Selon l'ordre dans lequel on le prend il change totalement de sens. Par exemple, si vous partez du printemps pour arriver à l'hiver vous voyez un schéma de la vie à plus grande échelle. D'abord, la naissance des jeunes pousses, ensuite, celles-ci atteignent leur âge d'or au printemps avant que l'automne ne les rattrape en flétrissant leur beauté et enfin, au moment de l'hiver, le froid prend la plante que succombe. Toutefois, partons de l'été, symbole de la vie dans toute sa splendeur, vient ensuite l'automne aux couleurs plus flamboyantes que les flammes et enfin l'hiver qui ne laisse derrière lui que le désespoir pour voir venir le printemps où la vie reprend ses droits sur une terre dévastée par le froid. La nature est alors pareil à une phœnix qui tenait de ses cendres années après années et nous étions dans cette période où l'air se réchauffait lentement laissant place tantôt à d'inépuisables averses, tantôt à de grandioses éclaircies afin que les plantes ne manquent ni d'eau ni de lumière pour reprendre leur croissance.
Dans le jardin, les fleurs reprenaient, entre les touffes d'herbe, leur pleins droits, donnant un peu de couleur à ce paysage verdoyant. Toutefois, la pluie tombait et les trombes d'eau qui se déversaient sur la capitale semblaient ne pas vouloir cesser. Toutefois, cela ne dérangeait pas Gaël Jolly qui en profitait pour maintenir ses chers enfants, toujours prompts à aller goûter aux bienveillants rayons du soleil, à l'intérieur. Il fallait bien que ces trois monstres s'entraînent. Car oui, tous trois désormais étaient en âge de s'entraîner.
Entre deux cliquetis ou suintements de lames, on entendait dans la cave le bruit sec d'une balle transperçant la cible en carton. L'arme rie familiale était variée et c'était un honneur pour les Jolly de la maintenir en état et de la compléter à chaque fois qu'apparaissaient des nouveauté.
« Redresse ta garde ! »
Une main, gantée, ferme stoppa le poing, armé, en mouvement pour éviter le pire avant que le père de famille ne se tourne vers la plus âgée de ses deux filles. S'assurant d'un regard qui la détailla qu'elle n'ait rien. Mais il fallait qu'elle s'endurcisse. À tout prix.
« Dans un combat véritable, tu serais morte.
-Mais ce n'est pas un véritable combat.
»
L'homme n'avait pas répondu, se détourna pour cacher son sourire en regagnant sa place. Elle ne cesserait jamais de l'étonner. Et c'était une bonne chose. Toutefois, elle avait tort de penser que la rapière était une arme délaissée. Quand elle était fine et équilibrée elle s'avérait plus dangereuse qu'une arme à feu. Et cela, il n'y avait pas que lui qui le savait. Il le lui aurait dit sans doute si il avait été capable de descripter le futur...
Car deux jours plus tard, Anaëlle regretta plus que jamais de n'avoir pas persévéré à la réussite de cet enchaînement. C'était un jour comme les autres, un jour d'école, au terme duquel elle attendait son frère à la sortie. Un frère qui arriva, moqueur et plaisantin comme à son habitude... Mais aucun des deux adolescents ne s'attendaient à faire de mauvaise rencontre, ils riaient, s'amusaient, se chamaillaient, le tout en marchant vers la boulangerie pour s'acheter un goûter digne de ce nom. Mais ce soir là, ils n'atteignirent pas le petit commerce. Ils étaient trois... Trois garçons, grands et trapus, que voulaient-ils ? Qui étaient-il ? Quoi qu'il en soit, frère et sœur s'étaient mis en garde, prêt à parer les coups et à les rendre comme on le leur avait apprit. Un premier s'était retrouvé plié en deux avec deux côtés cassées et le nez en sang. Un second avait finit la tête dans le mur de la rue, inconscient sur les pavés. Mais le troisième était durant ce temps aux prises d'Anaëlle qui plus fluette et moins entraînée que son frère peinait d'avantage à enchaîner les coups. La lame avait étincelé avant de refléter un museau menaçant en raison de babines retroussées sur des crocs asserrés ainsi qu'un œil doré. Gabriel n'avait pas attendu plus longtemps alors que sa sœur se préparait à esquiver le coup fatal dont l'avait prévenu deux jour plus tôt leur père. Il bondit sur le dragon, tombant à terre avec lui pour lui donner de nombreux coups en plein visage... Avant que le métal froid et criminel d'une lame courte ne s'enfonce dans son buste, transperçant un poumon... Un second coup de couteau et la jeune lame s'effondrait au sol : mort, sous le regard effrayé de sa sœur qui saisit à deux mains le petit revolver en sa position. Cela effraya l'assassin qui prit alors la fuite... Ignorant qu'elle aurait été incapable de tirer en raison de sa vue floue.
C'était de sa faute. Il était mort pour elle. Il était mort en lame.



Chapitre troisième

C'était un beau matin d'été, en cette saison si où le soleil se levait plus tôt, elle pouvait profiter des quelques rayons de soleil qui perçaient des fenêtres des tristes et blanches chambres de l'hôpital. Ses cheveux roux attachés en une queue de cheval, elle s'assurait que les patients qu'elle allait menait au bloc opératoire soient prêt et dans les meilleurs conditions possible. En poussant la porte d'une chambre, elle surpris du coin de l'œil dans le miroir de la salle de bain, une allure serpentine. Aussitôt, son sang ne fit qu'un tour, un dragon. Un dragon, ici, dans son service. Il allait falloir l'endormir ce monstre... Et de préférence veiller à ce qu'il ne se réveille jamais, pour qu'il ne puisse plus jamais faire de mal à personne. Anaëlle fit pourtant comme si elle n'avait rien vu, ouvrit patiemment les rideaux et refit le lit. Avant d'aller se préparer elle même pour la salle d'opération. Elle glissa tout d'abord ses cheveux dans un filet qu'elle protégea d'un bonnet puis avec précautions, changea de blouse et enfin, une fois dans le service, se lava les mains et les avant bras, enfilant alors un tablier, un masque et des gants avant d'aller accueillir le premier patient. Les opérations s'enchaîneraient ainsi toute la journée sans la moindre interruption ou presque. Mais cette journée pourtant ne serait pas comme les autres car alors qu'elle allait chercher un nouveau patient, la porte de l'ascenseur s'ouvrit sur le lit du dragon qu'elle avait vu plus tôt, aussitôt, elle sentit la colère monter en elle ainsi que cette soif de vengeance qu'elle connaissait si bien.
Depuis la mort de son frère, Anaëlle avait redoublé d'effort en s'entraînant toujours plus dur et de façon toujours plus intensive. Plus aucun dragon ne toucherait à aucun être lui étant cher. Elle les tuerait tous. Tous, sans exception, avec ou sans l'autorisation d'Antoine Revel, avec ou sans le consentement de qui que ce soit et sa sœur cadette avait beau avoir cherché à apaiser cette soif de sang en essayant de lui dégoter un petit ami, Anaëlle avait toujours finit par annulé un rendez-vous qu'elle avait si laborieusement obtenu afin de partir à la chasse au monstre dans la capitale. Aussi depuis peu, la jeune femme était elle surveillée par ses semblables, chaperonnée dans le but d'assurer sa sécurité. Mais elle serait en sécurité, ils le seraient tous : une fois que ces créatures impitoyables auraient disparu de la surface terrestre.
« Bonjour monsieur Davies, vous vous souvenez de moi ? Je m'appelle Anaëlle, nous allons allez au bloc opératoire ensemble, je suis l'infirmière de bloc. Comment vous sentez-vous ?
-Un peu anxieux... C'est une opération à risque tout de même...
»
Une opération à risque oui et cela avait été la meilleure nouvelle possible pour l'infirmière qui n'aurait rien d'autre à faire qu'à veiller que le risque prenne le dessus de la chance dans cette opération. Toutefois, elle n'était pas sans cœur, l'être était malade, gravement malade et en fin de vie, si il y était arrivé c'était parce qu'il n'avait pas commis de mal. Aussi se montra-t-elle douce et rassurante.
« Je suis certaine que tout va très bien se passer et ça ira beaucoup mieux à votre réveil j'en suis persuadée... »
Il se réveillerait en enfer ou au paradis, ce n'était pas à elle de juger de la valeur de son âme, toutefois, il ne verrait plus jamais rien du monde. L'opération se déroula plus mal encore que ne l'avait pensé Anaëlle qui n'eut donc rien à faire, sinon tenter de sauver une vie déjà perdue, tous dans la salle le savait. Le soir venue, elle s'assit sur un banc dans le couloir, ses cheveux lâchés sur ses épaules, elle ferma les yeux, peut-être aujourd'hui avait-elle prit conscience qu'ils n'étaient pas tous pareils... En se redressant, elle vit ses enfants et son épouse, parlant au médecin, éplorés... Un pincement lui prit le cœur.



Derrière l'écran


Derrière le visage de ce personnage passionnant se cache Chloé-Marine, mais le plus souvent, on la connais sous le nom de Coatlicue, c'est comme un nom de code, vous comprenez sans doute. Cette charmante personne a vingt ans. Elle a lu le règlement, la preuve en et qu'elle en connait le code qui est validé par nulle autre personne qu'elle même. Enfin, elle a tenu à ce que nous vous délivrions ce message : Je vous aime !

code by Coatlicue.
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MessageSujet: Re: Anaëlle Jolly | Un jour la paix sera... Anaëlle Jolly | Un jour la paix sera... EmptyMar 19 Aoû - 17:55


Tu es validé !


Félicitation !


Vive l'auto-validation !
Bonne lecture à tous ceux qui liront !

Dès à présent, tu peux poster tes fiches de liens iciet de rp ici ! De là, tu pourras te trouver des partenaires RP je l'espère dans les plus brefs délais ! Si tu as besoin d'un logement, n'hésites pas à en formuler la demande ici !
De plus, à présent que tu es officiellement une parisienne, tu as sans doute entendu des rumeurs que tu souhaiterais colporter, sur toi ou sur d'autres ! N'hésites donc pas à nous en faire part ici !
N'oublies pas que si tu as la moindre question, le staff est à ta disposition pour y répondre et dans le pire des cas tu peux toujours la formuler ici.
Nous te souhaitons un très bon jeu parmi nous !


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